Il y a des points qui me font tiquer sur les deux premiers films.
/nerd on
Si je reconnais que Toy Story 1 n’a pas le scénario le plus complexe du monde, je ne suis pas d’accord avec ce qu’il traite de facilités scénaristiques :
Le toit-ouvrant de la voiture n’arrive pas là comme par un hasard bien pratique pour la fin du film. Lorsque Buzz retrouve Woody à la station-essence, c’est par ce même toit-ouvrant qu’il entre dans la voiture. Et la voiture est visible plus tôt depuis la chambre de Andy.
La méchanceté de Sid n’est pas gratuite, mais est expliquée de manière peut-être trop subtile. Lorsque Buzz voit la pub qui lui fait réaliser qu’il est vraiment un jouet, il vient de s’enfuir de la chambre de Sid et se retrouve dans celle des parents. Le chien, qui nous a été présenté comme le cliché du bull-terrier violent, le repère et tente de pousser la porte avant de remarquer qu’un homme est en train de dormir devant la télé, et repars sans demander son reste. Au milieu de la journée précisons. Et on parle du chien qui va poursuivre nos protagonistes sur des kilomètres dans le final du film. On peut facilement en déduire que le paternel a quelques problèmes qui se répercutent sur son fils.
Woody essaie initialement d’arranger les choses parce qu’il se doit d’être le gentil, c’est vrai, mais il finit par vouloir ramener Buzz, même si ça lui coûte sa place de numéro 1, parce que le bonheur de Andy est ce qui est le plus important. Ça c’est un point sur lequel le personnage évolue.
Ensuite dans Toy Story 2 :
je ne suis pas d’accord lorsqu’il dit que ça ne fait pas sens que Woody désire avoir sa place dans un musée. Il faut se rappeler qu’il arrive avec le bras déchiré chez le collectionneur, et qu’il s’est retrouvé sur la fameuse “étagère du haut juste avant le grenier”, dernière étape des jouets cassés. Son cauchemar à ce sujet est même devenu un template de meme. Donc lorsqu’il se découvre une importance qu’il ne se connaissait pas, rencontre des jouets qui souffrent rien qu’à l’idée qu’on les remette dans une boite, pareil qu’être remisé au grenier, et qu’on lui fait une promesse d’immortalité, c’est compréhensible qu’il soit enclin à se laisser séduire.
Lorsqu’il dit que Woody aurait dû connaître ses produits dérivés et autre pubs, puisque il s’est trouvé sur les étals d’un magasin, il faut se rappeler que Woody est un vieux jouet. D’une époque où, si on se fie à la série en noir et blanc qui lui est dédiée, les télés étaient moins répandues et la pub moins omniprésente. Même les points de vente étaient différents. Les centres commerciaux ne s’étant pas encore répandus comme la peste.
/nerd off
En tout cas, sa lecture du 4 m’a donné envie de le revoir. Même avant le premier visionnage, j’avais des appréhensions puisque je le trouvais superflu, et il m’avait effectivement déçu. Qui sait, j’aurais peut-être un avis différent cette fois.
Il y a des points qui me font tiquer sur les deux premiers films.
/nerd on
Si je reconnais que Toy Story 1 n’a pas le scénario le plus complexe du monde, je ne suis pas d’accord avec ce qu’il traite de facilités scénaristiques :
Ensuite dans Toy Story 2 :
/nerd off
En tout cas, sa lecture du 4 m’a donné envie de le revoir. Même avant le premier visionnage, j’avais des appréhensions puisque je le trouvais superflu, et il m’avait effectivement déçu. Qui sait, j’aurais peut-être un avis différent cette fois.