Ce que je voulais dire c’est qu’en ayant vécu la quasi totalité de ma vie en campagne et en ayant des copains de plusieurs autres endroits de campagne en France je vois quand même que beaucoup de gens restent attachés à la culture locale.
Ici des gens prennent des cours d’occitan, des vieux mais aussi des jeunes. Certes ils représentent pas la majorité, donc non les moins de 30 ans parlent pas aussi bien l’occitan que la génération d’avant, mais l’attachement à la culture existe bel et bien.
Et oui les jeunes partent faire leurs études en ville, c’est inévitable. Mais c’est pas pour ça qu’ils se détachent. Tous mes potes qui sont restés en ville après leurs études rentrent toujours chez leur parents de temps en temps et sont bien contents d’y retrouver leurs racines.
Mon but est pas de dire que la culture se perd pas, je suis complètement d’accord avec ça. Et justement c’est bien ça le problème, c’est que la culture se perd en grande partie à cause de l’interdiction des langues régionales qu’il y avait à une époque, et plus récemment à cause du mépris envers le peu de gens qui ont continué à les parler.
Si il fallait ne garder que les langues que le plus de gens parlent on parlerait tous anglais. Et on perdrait toute la culture rattachée à la langue française, l’origine des noms de lieux, les expressions, etc.
Personne a envie de ça et pourtant c’est ce qui est arrivé avec les langues régionales.
Tous mes potes qui sont restés en ville après leurs études rentrent toujours chez leur parents de temps en temps et sont bien contents d’y retrouver leurs racines.
Je ne sais pas si c’est vraiment comparable, mais mes parents n’ont pas le le français comme langue maternelle. On a continué à parler leur langue à la maison, parce que c’est une condition indispensable pour conserver cette culture là.
Mon usage n’est pas parfait, mais assez bon pour que quand je croise un autre locuteur on puisse communiquer exclusivement dans cette langue.
Je connais d’autres personnes qui ont perdu leur usage sur une génération, souvent une fois adultes, ils regrettent de ne pas avoir au moins les bases.
Excuse moi pour l’attaque, c’était pas correct.
Ce que je voulais dire c’est qu’en ayant vécu la quasi totalité de ma vie en campagne et en ayant des copains de plusieurs autres endroits de campagne en France je vois quand même que beaucoup de gens restent attachés à la culture locale.
Ici des gens prennent des cours d’occitan, des vieux mais aussi des jeunes. Certes ils représentent pas la majorité, donc non les moins de 30 ans parlent pas aussi bien l’occitan que la génération d’avant, mais l’attachement à la culture existe bel et bien.
Et oui les jeunes partent faire leurs études en ville, c’est inévitable. Mais c’est pas pour ça qu’ils se détachent. Tous mes potes qui sont restés en ville après leurs études rentrent toujours chez leur parents de temps en temps et sont bien contents d’y retrouver leurs racines.
Mon but est pas de dire que la culture se perd pas, je suis complètement d’accord avec ça. Et justement c’est bien ça le problème, c’est que la culture se perd en grande partie à cause de l’interdiction des langues régionales qu’il y avait à une époque, et plus récemment à cause du mépris envers le peu de gens qui ont continué à les parler.
Si il fallait ne garder que les langues que le plus de gens parlent on parlerait tous anglais. Et on perdrait toute la culture rattachée à la langue française, l’origine des noms de lieux, les expressions, etc.
Personne a envie de ça et pourtant c’est ce qui est arrivé avec les langues régionales.
Je ne sais pas si c’est vraiment comparable, mais mes parents n’ont pas le le français comme langue maternelle. On a continué à parler leur langue à la maison, parce que c’est une condition indispensable pour conserver cette culture là.
Mon usage n’est pas parfait, mais assez bon pour que quand je croise un autre locuteur on puisse communiquer exclusivement dans cette langue.
Je connais d’autres personnes qui ont perdu leur usage sur une génération, souvent une fois adultes, ils regrettent de ne pas avoir au moins les bases.