La médiatisation de #MeToo à l’hôpital prend de l’ampleur : alors que la parole se libère dans le milieu hospitalier, franceinfo a recueilli le témoignage de jeunes femmes médecins victimes d’agressions sexistes ou sexuelles pendant leurs études.

  • Magical_Spark@jlai.luOP
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    8 months ago

    Un peu hallucinant le fait que certaines en ont parlées, mais qu’elles étaient ignorées par la hiérarchie.

    Les mentalités sont en train de changer avec les nouvelles générations, assure Camille Shadili, trésorière de l’intersyndicale des internes : “La génération des 20 ans, 30 ans, qui arrive là maintenant à l’hôpital, sa mentalité change. Depuis quatre ou cinq ans à peu près, les langues se délient. Certains actes qui étaient considérés par certains comme normaux, banals, maintenant, on les dénonce.”

    Mais ça fait plaisir d’entendre que cela change, que la nouvelle génération est éduquée et consciente face à cela. Il faut en parler, ce n’est juste pas normal après tout.

    • loutr@sh.itjust.works
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      8 months ago

      Un peu hallucinant le fait que certaines en ont parlées, mais qu’elles étaient ignorées par la hiérarchie.

      Ça m’étonne pas du tout, c’est complètement institutionnalisé, y’a des immenses fresques de cul dans certaines cafets, l’ambiance “grivoise” vient avec le boulot donc les mains aux fesses ou un ptit pelotage en passant c’est tout à fait normal, c’est pour décompresser c’est bon…

      Je me souviens d’un article y’a bien 15 ans où une médecin parlait d’un chirurgien très respecté qui demandait aux internes (femmes bien sûr) de lui tenir la teub pour qu’il puisse pisser tout en opérant, avec toujours la formule “et vous n’oublierez pas la petite goutte !”

    • Snoopy@jlai.lu
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      ·
      8 months ago

      Et surtout qu’ils soient poursuivi en justice…c’est à gerber…on dirait que le manque de medecin les arrange et leur confère une impunité. J’imaginez si on les mettais en prison ?